[vc_row][vc_column][vc_column_text]Dans une société régie par la performance et l’excellence, il arrive de douter de soi, de ses compétences personnelles, de ses opinions et de ses relations aux autres. Peur de ne pas être à la hauteur, de se tromper, de dire « non »…. Parfois, ces craintes prennent le dessus et empêchent de progresser, d’avancer. Toute action ou prise de position devient alors difficile voire impossible. Pour rompre ce cercle vicieux, des solutions concrètes existent.
Au cours de la formation Renforcer son estime et sa confiance en soi, Stéphanie Marécaux livre des clés pour (re)gagner confiance en vous, à votre rythme. Découvrez son interview.
Qu’appelle-t-on « avoir confiance en soi » ?
La confiance en soi repose sur la certitude qu’on peut compter sur soi et s’accompagne d’actes. La personne a le sentiment d’être capable de pouvoir faire face à une situation délicate : « je suis capable de terminer ce dossier à temps », « je peux prendre cette décision seul(e)», « je suis en mesure de m’améliorer en anglais », etc. En résumé, la confiance en soi renvoie à nos compétences personnelles, notre capacité à agir, décider, mener à bien des projets…
A l’inverse, une personne avec une faible confiance en elle aimerait agir mais elle n’ose pas. Contrairement à ce que l’on pense, ce n’est pas un problème de volonté, mais une difficulté ou impossibilité à passer à l’acte. La personne craint de ne pas y arriver. Elle anticipe l’échec, ce qui l’empêche d’agir. Puis, elle s’en veut et se fait des reproches (« tu vois, tu n’es pas capable ») et elle se dévalorise. C’est le cercle vicieux.
Peut-on travailler sa « confiance en soi » ?
Bien sûr, chacun à son rythme, selon sa personnalité, son vécu et ses objectifs (réalistes). Pour cela, il est nécessaire de travailler sur trois axes : mieux se connaître, agir et s’affirmer.
Pendant la formation « Renforcer son estime et sa confiance en soi« , les participants osent progressivement sortir de leur zone de confort : ils tentent des expériences et testent des outils nouveaux (zone de progrès). Les participants apprennent notamment à repérer leurs croyances limitantes et les modifier (« je dois être fort », « je dois être parfait », « je veux faire plaisir »). Ces messages contraignants, issus de l’enfance, les empêchent souvent d’entreprendre et les enferment dans des craintes, des doutes qui sapent l’image de soi et la motivation.
A quoi sert cette « confiance » en entreprise ?
Nombre de participants éprouvent par exemple de la difficulté à s’affirmer et ne se mettent pas en valeur : ils s’effacent en réunion, ont peur d’afficher leur point de vue face à leur hiérarchie, n’ose pas dire « non »… Par peur d’être jugé, évalué, et/ou de déplaire. Des jeux de rôles en assertivité (affirmation de soi) leur permettent d’exprimer leurs émotions et leurs besoins, tout en respectant ceux des autres, et de prendre ainsi position, sans perdre leurs moyens. D’autres participants ne s’autorisent pas, par exemple, à demander de l’aide ou n’acceptent pas de se tromper : « c’est impossible ! », rétorquent-ils. De leur point de vue, l’erreur (ou l’aide) est vécue comme une faiblesse voire une sanction. Il s’agit alors de voir autrement : puis-je tirer parti de mes erreurs pour progresser et monter en compétences ? Cela implique de réviser sa vision aggravante de l’échec (« c’est définitif, irréversible et ridiculisant »).
Quels sont les leviers pouvant être activés pour gagner en confiance en soi ?
Comme je l’ai mentionné, s’affirmer, relativiser ses erreurs, réviser ses croyances… sont des leviers. Un axe du travail consiste aussi à accepter ses émotions, même si elles sont désagréables : « j’ai peur de ne pas y arriver », « je suis énervé(e) car il ne m’écoute pas », « je suis déçu(e) que mon travail ne soit pas reconnu à sa juste valeur »… Accueillir son émotion, c’est la reconnaître pour ne pas se laisser déborder par elle : d’où vient cette peur ou cette colère ? Qu’est-ce qui l’a déclenchée ? Quel besoin demande à être satisfait ? Comment vais-je exprimer mon ressenti et mon point de vue à l’autre ?
En tant que sophrologue, je livre aussi des exercices de respiration, d’ancrage et de visualisation positive pour renforcer ses capacités /ressources et apaiser le mental.
Quels liens peut-on faire entre confiance en soi et estime de soi ?
Ces deux notions sont très liées. L’estime de soi est la valeur que je me porte : je suis nul(le) ou je suis une personne valable avec mes défauts et mes qualités. Suis-je digne d’intérêt ? Est-ce que j’ai ma place ? L’estime se construit tôt, dès l’enfance. C’est un jugement personnel qui repose sur la sécurité intérieure. C’est la base même de la confiance en soi.
Cette formation, à elle seule, ne permet bien sûr pas de retrouver une totale confiance en soi. Soyons honnête, deux jours ne suffisent pas ! Néanmoins, chacun peut y puiser quelques clés pour mieux se connaître, retrouver de l’énergie et se développer progressivement, en mettant en place 3 ou 4 actes concrets dès la fin de la formation. AGIR, c’est essentiel pour regagner confiance !
Découvrez nos formations :
- Développer son intelligence émotionnelle
- Renforcer son estime et sa confiance en soi
- Développer son intelligence relationnelle
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Stéphanie Marécaux, sophrologue, formatrice en communication/développement personnel depuis huit ans, et journaliste experte en Santé/Bien-Etre. Formée aux techniques théâtrales (Cours Florent) et certifiée en PNL, elle se passionne pour la qualité de vie au travail et accompagne des collaborateurs et managers dans le cadre de missions formation/coaching. Partenaire d’EFE, elle anime les formations : « Développer son intelligence émotionnelle », « Renforcer son estime et sa confiance en soi » et « Développer son intelligence relationnelle » [/dt_quote][/vc_column][/vc_row]
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